Avant de manifester l’abondance, tu dois commencer par voir ce qui te bloque vraiment.
Et la vérité, c’est que ton subconscient est un expert du camouflage.
Il ne te dit pas “je te bloque”, il te raconte des histoires logiques, raisonnables, presque crédibles… mais qui t’empêchent d’avancer.
Alors prends une feuille, ou ouvre une note dans ton téléphone, et fais la liste de toutes les raisons que tu te racontes quand tu penses à l’argent, à la réussite, ou à tes projets.
Ne cherche pas à trier ou à comprendre pour l’instant — écris tout, absolument tout.
Voici quelques exemples pour t'aider mais la liste est beaucoup plus longue normalement à toi de regarder en toi :
“Je n’ai pas d’opportunités.” ou “Je ne sais pas où trouver l’argent.”
➡️ Blocage caché : tu crois que les opportunités sont rares, alors qu’en réalité, elles sont partout. Le monde d’aujourd’hui en regorge, sur Internet, dans les réseaux sociaux, à travers les nouvelles technologies, les intelligences artificielles, les collaborations, les idées…
Le vrai problème, ce n’est pas le manque d’opportunités, c’est le besoin de certitude. Tu veux être sûr que ça marche avant d’essayer. Tu veux une garantie avant d’avancer. Et cette recherche de sécurité absolue n’est pas de la prudence, c’est un reflet d’un manque de confiance en toi.
Les opportunités ne se voient qu’à ceux qui osent bouger sans savoir exactement où ils vont. Tant que tu attends d’être sûr, tu restes au point mort. Mais le jour où tu décides d’avancer malgré le doute, ton cerveau commence à repérer ce qu’il ne voyait pas avant : les bonnes idées, les bons contacts, les bonnes portes à ouvrir.
“Je n’ai pas de chance.”
➡️ Blocage caché : tu crois que la réussite est une loterie, pas une vibration. C’est une manière de te protéger de l’échec : si c’est la faute de la chance, tu n’as pas à te confronter à ton pouvoir personnel.
“Je suis bloqué dans mon métier / je suis fonctionnaire / je n’ai pas le choix.”
➡️ Blocage caché : croyance d’impuissance. Tu crois que ton avenir dépend d’une structure, d’un patron, d’un système, alors que la réalité c’est que tu as toujours un choix : apprendre, créer, oser, transformer.
“Je n’ai pas le temps.”
➡️ Blocage caché : peur de la priorité. Ton inconscient redoute le changement, alors il t’occupe avec l’illusion du “je suis trop pris” pour ne pas affronter ce qui te fait grandir. Tu le sais que tu peux te dégager du temps si tu le veux.
“Je n’ai pas assez d’énergie.”
➡️ Blocage caché : tu dépenses ton énergie à lutter contre la peur et la culpabilité. L’énergie ne manque pas : elle est juste mal dirigée.
“L’argent ne m’intéresse pas, je veux juste être heureux.”
➡️ Blocage caché : rejet de l’abondance par peur d’être jugé. Tu associes richesse et égoïsme, alors ton inconscient t’empêche d’en attirer pour “rester une bonne personne”.
“Ce n’est pas le moment.”
➡️ Blocage caché : peur de l’échec. Tu crois que tu auras plus de courage demain, mais demain ne vient jamais, parce que le courage ne se trouve pas, il se décide.
“Je n’ai pas les compétences.”
➡️ Blocage caché : croyance d’infériorité. Ton subconscient te garde dans la zone connue, car apprendre, c’est risquer de te découvrir plus capable que ce que tu crois.
“Je ne veux pas décevoir les autres.”
➡️ Blocage caché : besoin d’approbation. Tu cherches à plaire, à rester dans la norme, même si cela t’étouffe financièrement.
“Je ne veux pas tout sacrifier pour l’argent.”
➡️ Blocage caché : tu crois encore que l’argent s’oppose au bonheur. En réalité, l’argent amplifie ce que tu es déjà : il ne t’enlève rien, il te révèle.
👉 Et voici le point clé : toutes ces raisons ne sont pas la vérité.
Elles ne sont que des excuses inconscientes fabriquées par ton subconscient pour te maintenir en sécurité.
Car pour lui, le changement = danger.
Et il préfère une misère familière à une liberté inconnue.
Mais le simple fait de les écrire, de les voir, de les nommer est déjà une victoire.
Parce qu’une croyance vue, c’est une croyance affaiblie.
Et une croyance observée avec honnêteté commence déjà à se transformer.
Alors maintenant, fais ta liste.
Sois brutalement honnête.
Et souviens-toi : ce que tu appelles “raison” aujourd’hui n’est peut-être qu’un reflet de tes peurs d’hier.